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Soutenir le regroupement de familles de réfugiéspar l’Action de l’Avent organisée par le projet Reech eng HandPouvoir retrouver une vie de famille est un facteur de stabilité important pour des personnes réfugiées reconnues (BPI) mais les obstacles sont nombreux avant de pouvoir faire venir des membres de famille au Luxembourg. En effet, la Caritas nous a fait remonter un certain nombre de difficultés, en particulier financières : – les BPI ont peu de ressources pour le regroupement familial car ils financent déjà la vie de leurs familles soit dans le pays d’origine, soit dans un autre pays où se trouvent les familles pendant des mois. C’est un poids très lourd car ils doivent aussi payer le loyer à l’OLAI sur leur RMG. Ils ne peuvent pas épargner et, s’ils ne reçoivent pas d’aide, ils s’endettent encore davantage. Sans compter les dettes qu’ils ont encore pour financer leurs propres voyages. – Les BPI ne peuvent pas contracter de crédits à cause du RMG et, la plupart du temps, les Offices Sociaux ne leur prêtent pas d’argent pour le regroupement familial. – Les coûts administratifs sont élevés : traduction des documents, visas (voyages jusqu’à l’ambassade compétente la plus proche, obligation parfois de traverser illégalement une frontière pour se rendre à l’ambassade, ce qui revient très cher), prix des billets d’avion (entre 200 et 600€ selon le pays). Afin de garantir la transparence, une liste de critères a été mise en place par Reech eng Hand pour, selon les cas, accorder ou non une participation au financement. Vous pouvez effectuer votre virement sur un des comptes de la Fondation Ste Irmine, avec la communication « Reech eng Hand – Don regroupement familial » CCPLLULL : LU64 1111 7017 0305 0000
Pour plus d’informations Zwei Beispiele (Caritas) Frau XY , BPI aus Eritrea befindet sich in Luxemburg seit 2015. Im Frühjahr 2017 wird sie als Flüchtling anerkannt. Sie hat ein Kind und ihren Mann in Eritrea und zwei Kinder in einem Flüchtlingslager in Äthiopien. Von ihrem RMG zahlt sie die Miete na OLAI und deckt ihre Lebenskosten. Die ganze Zeit unterstützt sie auch die Familie, vor allem die zwei Kinder in Äthiopien. MAE verlangt Reisedokumente, die nur in Addis ausgestellt werden und dazu muss sie jemanden bevollmächtigen, der ihre Kinder nach Addis bringen würde, damit sie Reisedokumente bekommen. Da sie keine Familie in Äthiopien hat, muss sie selbstverständlich noch für dieses Service zahlen. Zusätzlich zu allen anderen Kosten, zahlt sie noch 180 EUR extra pro Kind für Flugtickets, da Kinder klein sind und nicht unbegleitet reisen dürfen. Sie muss noch kucken, wie sie noch den Transfer ihres Mannes und des in Eritrea verbliebenen Kindes finanziert. Herr XY, BPI aus Syrien befindet sich in Luxemburg seit 2015. Ende 2017 wird er als Flüchtling anerkannt. Er hat Frau und 6 Kinder. Die Familie muss aus Syrien nach Libanon, um den Antrag auf Visum zu stellen. 7 Personen müssten ihren Unterkunft von mindestens 10 Tage in Beirut finanzieren (Hotel, Essen) Die Familie hat dieses Geld nicht, so dass der Familienvater für diese Kosten, sowie für die Flugtickets aufkommen muss. Abgesehen von diesen Kosten kommen noch die Kosten für die Reise nach Libanon (Visum durch eine Agentur) und vor allem in Syrien selbst (unbekannte Summen werden an verschiedenen Check Points verlangt). Meistens fragen Leute bei uns einen Kredit von 1.500 - 3000 EUR . |
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